Tomber amoureuse d'une œuvre. Quelques réflexions et matériaux à propos de La langue brisée (1)

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Résumé

Pauline Le Boulba revient sur La langue brisée (1) une performance qu’elle crée en septembre 2015 et dans laquelle elle partage avec d’autres spectateur·rice·s la manière dont elle est tombée amoureuse d’une œuvre. À rebrousse-poil d’une pratique critique qui garderait une distance raisonnable avec son objet d’étude, elle préconise l’affect amoureux comme geste critique et opère un geste de renversement dans le rapport œuvre-spectateur·rice.

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